J'ai vu ma première corrida sur les genoux de mon père. J'avais trois ou quatre ans et ne cessait parait-il de me tourner et retourner pour voir ou ne pas voir. En dépit de ce début inconfortable, il a poursuivi mon "éducation" avec constance. Outre la corrida, c'est tout le "mundillo", la "planète toro" qu'il m'a fait découvrir. Il décodait le monde en termes taurins, et je soutiens la pertinence du propos.
1 commentaire:
J'aurais moi même aimé bénéficier de cette éducation taurine avec mon grand-père, j'ai une attirance certaine pour l'arène (et n'en connais pas tant que ça), mais aimerai en savoir plus... Un jour peut-être, mais il me semble malheureusement que cette connaissance s'éloigne de ma portée.
Londres, c'est pas très porté sur la corne et l'oreille
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