
Peu de monde dans le marais quand il neige.
Comme le froid pinçait, j'ai pris des photos comme base. Cela se sent un peu dans la mise en page. Mais baste, je crains trop le froid aux mains. La prochaine fois, je prend des moufles.

Comme dit, voici les mêmes "en couleur".
Si vous ne voyez pas de l'eau, c'est normal. Les glaçis de reflets restent à poser, et les habitants de la mare n'ont pas encore investi l'espace qui leur est dévolu dans la bande la plus claire.
Quelques ennuis dans la peinture en cours et un "press-book" retrouvé justifient cette toile relativement ancienne.

Une Peinture vieille de quelques années, illustrant sans que je m'en rende compte sur le moment, une chute de plus dans une liste trop fournie.
Pas tout à fait teminé mais presque.
Un rêve évoqué par une commentatrice me donne l'idée de metre en ligne les notes photo que je prend afin de m'y référer aprés la mise en composition du travail de terrain. Je n'ai pas encore regardé si je puis caser tout celà dans une sous-rubrique. Je verrais plus tard.
Cherchant une photo pour meubler ce temps pendant lequel les travaux sèchent, j'en trouve une autre. Bien que ce portrait reproduction pastiche ait été fait à deux, je le pose quand même. Il a été réalisé avec une personne bien plus imaginative quelle ne le croyait, est c'est notre synergie qui l'a fait naitre.
La maison où j'habite à les pieds dans l'eau. Un petit port au bout de la ruelle. Les gens de la rue viennent souvent voir si "l'eau monte" ou bien si elle descend. Regardeurs regardés: sous les lentilles d'eau, seul l'oeil de la grenouille révèle sa présence. A ce moment là, elle est le nombril du monde.